mercredi 1 juin 2016

C'est un virus, pas un Docteur

Pas un docteur.

Depuis Star Trek, 1999, X-Files, Sliders, Stargate, Charmed et Medium ( ben je suis une fille quand même ), j'avais juré que je ne perdrais plus mon temps devant des séries. Que de la lecture. Puis j'en avais entendu parlé, un peu par vilain chéri - décapité depuis peu - et par Le Cercle. Mais j'avais dit que non, non, non, non je résisterais. Je suis forte. C'est une question de volonté. Puis j'ai regardé un épisode, enfin un bout, juste un. Et j'ai trouvé ça trop kitch. Je devais avoir de bon anticorps à ce moment-là.
Afin de passer des moments popcorn et glaces avec ma très noble descendance au sang vert, qui approche l'âge de découvrir le vaste monde, en attendant l'infini et au-delà des univers connus et inconnus, je me suis abonnée à un célèbre distributeur de films et séries.
Et il était là. Oui, oui là. Tapis dans l'ombre, vous voyez, juste dans cet espace au coin de l'oeil, qui disparaît quand il est regardé bien en face. Enfin, il est le compagnon parfait. Il se régénère quand il se meurt. Et il nous fait le coup de treize à la douzaine. Ah ! Imaginez ça, un compagnon qui repousse à l'infini. Et en plus il change d'aspect, quoi de mieux que le changement pour ravivez la flamme.
Le 11 ième était jeune et juteux, le dernier est plus sec et croustillant.... le 10 ième était à point. Bon allez j'ai 53 années d'épisode à rattraper.



Ne vous y trompez pas, c'est la boîte que je préfère à tout, je peux y coller mes oothèques.

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