Biographie
de l'auteur:
Karen Thompson Walker est diplômée de UCLA et de l'université Columbia, où elle a suivi un cursus sur l'écriture littéraire.
Elle a bénéficié en 2011 de la bourse prestigieuse du Sirenland Fellowship et obtenu le prix de la fiction décerné par le magazine artistique new-yorkais Bomb.
Ancienne éditrice chez Simon & Schuster, elle a écrit "L'âge des miracles", son premier roman, le matin avant de partir travailler.
Originaire de San Diego, elle vit actuellement à Brooklyn avec son mari.
Présentation de l'éditeur:
Une journée d'octobre apparemment comme les autres, l'humanité découvre avec stupeur que la vitesse de rotation de la Terre a ralenti. Les jours atteignent progressivement 26, 28 puis 30 heures. La gravité est modifiée, les oiseaux, désorientés, s'écrasent, les marées se dérèglent et les baleines s'échouent... Tandis que certains cèdent à la panique, d'autres, au contraire, s'accrochent à leur routine, comme pour nier l'évidence que la fin du monde est imminente.
En Californie, Julia est le témoin de ce bouleversement, de ses conséquences sur sa communauté et sa famille. Adolescente à fleur de peau, elle est à l'âge où son corps, son rapport aux autres et sa vision du monde changent : "L'âge des miracles".
Entre roman d'anticipation et roman d'apprentissage, "L'âge des miracles" est un livre visionnaire sur la capacité d'adaptation de l'homme, poussée ici à son paroxysme.
Karen Thompson Walker est diplômée de UCLA et de l'université Columbia, où elle a suivi un cursus sur l'écriture littéraire.
Elle a bénéficié en 2011 de la bourse prestigieuse du Sirenland Fellowship et obtenu le prix de la fiction décerné par le magazine artistique new-yorkais Bomb.
Ancienne éditrice chez Simon & Schuster, elle a écrit "L'âge des miracles", son premier roman, le matin avant de partir travailler.
Originaire de San Diego, elle vit actuellement à Brooklyn avec son mari.
Présentation de l'éditeur:
Une journée d'octobre apparemment comme les autres, l'humanité découvre avec stupeur que la vitesse de rotation de la Terre a ralenti. Les jours atteignent progressivement 26, 28 puis 30 heures. La gravité est modifiée, les oiseaux, désorientés, s'écrasent, les marées se dérèglent et les baleines s'échouent... Tandis que certains cèdent à la panique, d'autres, au contraire, s'accrochent à leur routine, comme pour nier l'évidence que la fin du monde est imminente.
En Californie, Julia est le témoin de ce bouleversement, de ses conséquences sur sa communauté et sa famille. Adolescente à fleur de peau, elle est à l'âge où son corps, son rapport aux autres et sa vision du monde changent : "L'âge des miracles".
Entre roman d'anticipation et roman d'apprentissage, "L'âge des miracles" est un livre visionnaire sur la capacité d'adaptation de l'homme, poussée ici à son paroxysme.
Mon avis :
Ne
touchez pas au réglage de votre écran d'ordinateur et oubliez tout
ce qui vient d'être pompeusement recopié ci-dessus d'un site de
critiques qui l'avait lui même pompé sur amazon ou la fnac.
Tout
commence par un truc du style (imaginez comme narratrice une
gamine de 11 ans avec la voix et des expressions d'une... gamine
de 11 ans) :
«
-
Elle, c'est ma cop's rien quà moi toute seule. Devinez ce que j'ai
de coller sous mon pupitre à l'école ? J'vous l'donne en mille
(mais attention c'est un secret) : la moitié d'un chewing-gum à
la mente. Et vous savez quoi ? Bin l'autre moitié, c'est ma
cop's qui l'a ! hihihihi... »
Bon
là, vous me direz, vous percevez plus la dimension du titre, " l'âge
des miracles ", celui là même qui vous fait passer de la
blanche brebis bêlante à un être doué de réflexion et d'une
certaine forme de maturité (et perdre quelque boutons d’acné au
passage, ce qui n'est pas forcément un mal. Et non, je n'ai pas
parlé d'autre chose que de boutons.)
Passé
l'évocation de cet âge des miracles vers le premier tiers du
bouquin, la narratrice semble faire un saut dans le QI, la taille de
bonnet, voire même dans sa relation avec les autres (comme quoi le QI
est super important). Et là nous rentrons dans du " Ravage
de Barjavel " revu et corrigé à la SITCOM pour heure de
grande écoute sur France 3 : on peut passer un bon moment si on
n'a que cela à regarder mais on est bien content lorsque cela
s'arrête et que l'on doit s'enfuir de chez la belle-mère et
s'excusant par un :
«
-
ou la-la, j'avais pas vu l'heure dis-donc : faut vraiment que j'y
aille car sinon je vais arriver en retard pour mon « Terreur de
Dan Simmon » qui fait 700 pages, donne mal au crâne et dispose
d'à peu-près autant de vocabulaire dans un chapitre que dans tous
ce bouquin que La Mante m'a poussé à chroniquer ! »
ouhlala tu es vilaine, il est sur ma PAL j'espère que je le trouverai pas trop gnangnan ! "un saut dans le QI" lol
RépondreSupprimeril est méchant je t'avais prévenue. Figure toi qu'il m'a sorti que je pouvais le lire tout de même que ça se lisait très bien.
SupprimerJ'ai l'impression que c'est bit-lit, si tu aimes ça passera. moi je pensais que c'était plus SF, pré apo voire écolo.
enin que j'écrais bit lit, j'entends lit pour ado.
SupprimerJ'aime pas trop la littérature ado gnangnan, c'est mal barré :/
RépondreSupprimerMoi non plus !
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